Le Musée d’Étampes doit sa renommée à un ensemble de sculptures du XIXe siècle. Toute l'oeuvre d'Elias Robert est complétée en 1875 par des dessins, des peintures, des vestiges archéologiques, des documents historiques et quelques fossiles.
Les collections appartiennent à des disciplines différentes : la paléontologie, l'archéologie, les Beaux-Arts, l'art contemporain et l'ethnologie. En tout, 260 tableaux, 358 sculptures, 3 000 objets de la Préhistoire sont exposés au musée intercommunal d'Étampes.
Chambres d'hôtes proches du centre-ville d'Étampes
Cette maison accueille en colocation à l’année des jeunes actifs, professeurs, stagiaires ou étudiants français et étrangers et occasionnellement des voyageurs pour une ou plusieurs nuits.
La maison dispose de chambres privées pour 1 ou 2 personnes et propose des espaces partagés : cuisine équipée avec espace repas, salles d’eau, toilettes.
Chaque chambre est équipée de table, chaises, rangements, réfrigérateur, WIFI.
Tarif nuitée :
Chambre un lit pour une personne : 35 €
Chambre lits pour deux personnes : 50 €
L’Hôtel Anne-de-Pisseleu abrite aujourd’hui l’Office de Tourisme d’Etampes.
Il faut imaginer qu’autrefois, la petite place était une cour totalement fermée et à l’arrière du bâtiment se trouvait un jardin aujourd’hui disparu.
Cet ensemble a été construit pour le prévôt d’Étampes Guillaume Audren au 16ème siècle.
Sous le toit, une frise mêle des motifs végétaux et animaux entrecoupés de figures humaines. Plus bas, le linteau surplombant la porte d'entrée est rythmé par une ronde des Amours. Cette danse évoque l'esprit du temps.
Regardez maintenant au-dessus de la petite porte à droite, le buste de François Ier. La posture du roi rappelle les portraits réalisés par les peintres de l'école de Fontainebleau.
De part et d’autre de la façade, des médaillons représentent au centre François Ier et à droite Anne-de-Pisseleu, sa favorite. Pour la petite histoire même si Anne de Pisseleu reçut le duché d’Étampes en apanage, elle n’a probablement jamais séjourné ici ! Cet Hôtel a prit son nom au 19ème siècle pour lui rendre hommage. Et d’ailleurs, ces médaillons ne sont pas d’origine ; ils ont été ajoutés à cette époque.
Regardez bien la fenêtre la plus à droite du rez-de-chaussée; sur le montant de gauche, à environ 2 mètres du sol, se trouve un cartouche où est inscrite la date.
Équipements
Toilettes
Salle d'exposition
Services
Boutique
Visites guidées
Du 01/04 au 31/10
Ouverture le mardi, mercredi, jeudi et vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18h. Le samedi de 9h à 18h. Le dimanche de 14h à 17h.
Fermé le lundi.
Du 01/11 au 31/03
Ouverture le mardi, mercredi, jeudi et vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h. Le samedi de 9h à 17h.
Fermé lundi et dimanche.
Cette statue a été réalisée par le sculpteur étampois, Elias Robert. Tout comme le théâtre, elle fut édifiée grâce à une souscription publique, en 1857.
Mais au fait, savez-vous qui elle représente ?
Il s’agit d’Etienne Geoffroy Saint-Hilaire un savant naturaliste né à Étampes en 1772. Premier professeur de zoologie du monde, il accompagna Napoléon pendant sa campagne d’Egypte.
Elias Robert a choisi de le représenter en robe de professeur de faculté.
Sous son bras gauche, le buste de Diane d’Ephèse évoque l’Egypte. Autre symbole de ce voyage : les sphinx tout autour du piédestal.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.