La « Halle au cresson » présente une exposition permanente sur le cresson de fontaine. L'Essonne reste le premier producteur français de cresson. Certains cressiculteurs s'orientent actuellement, comme la famille Barberon de Méréville, vers une culture biologique soucieuse de la qualité de sa production et du respect de l'eau.
Le cresson est une plante pleine de vertus. Au Moyen Age, le Cresson était employé comme dépuratif et dans les affections pulmonaires. Cette plante était aussi connue comme reconstituant efficace. Ainsi, l'histoire raconte que lors de ses fréquents séjours à Vernon, en l'été 1261, alors qu'il avait faim et soif, Saint Louis la consomma en salade et s'en trouva si bien qu'il accorda aussitôt à cette petite ville de l'Eure le privilège de faire figurer trois bottes de cresson sur ses armoiries. A partir du XVIe siècle, les vertus diurétiques, apéritives et antiscorbutiques du cresson sont unanimement reconnues.
Quoi qu'il en soit, les vertus de ce condiment demeurent: vitamines A, B, C, PP et moult sels minéraux, dont le souffre, le chlore, le calcium, le fer, le cuivre, le manganèse, le sodium… A déguster d'urgence donc !
Du 01/04 au 31/10
Ouverture le mercredi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche de 14h à 18h.
Fermé lundi et mardi.
Du 01/11 au 31/03
Ouverture le vendredi et samedi de 14h à 17h.
Fermé lundi, mardi, mercredi, jeudi et dimanche.
Le Musée d’Étampes doit sa renommée à un ensemble de sculptures du XIXe siècle. Toute l'oeuvre d'Elias Robert est complétée en 1875 par des dessins, des peintures, des vestiges archéologiques, des documents historiques et quelques fossiles.
Les collections appartiennent à des disciplines différentes : la paléontologie, l'archéologie, les Beaux-Arts, l'art contemporain et l'ethnologie. En tout, 260 tableaux, 358 sculptures, 3 000 objets de la Préhistoire sont exposés au musée intercommunal d'Étampes.
Forteresse féodale datant de la fin du XIIIe siècle, le château de Farcheville est l'une des forteresses de plaine les plus remarquables d'Île-de-France.
Classé monument historique depuis 1948, le château de Farcheville est un exemple rare et très bien conservé de forteresse féodale.
Selon une inscription encore visible en 1667, le château aurait été bâti pour Hugues II de Bouville (1240-1304), baron de Milly, en 1291.
Le château de Farcheville est une forteresse de plaine, disposition inhabituelle pour la région. Il comporte en particulier une vaste enceinte rectangulaire entourée de douves, flanquée de tours aux angles et dont les mâchicoulis sont portés par de grands arcs brisés entre les contreforts.
Au milieu de l'un des côtés, l'entrée s'ouvre dans le donjon rectangulaire, à côté d'un pavillon datant du début du XVIIe siècle. L'ancienne résidence seigneuriale se situait probablement dans la partie sud-est qui, au XVIIIe siècle, était déjà devenue la ferme du château.
À l'intérieur de l'enceinte, on trouve une salle seigneuriale, une grange aux dîmes, des communs, un colombier, des remises et écuries, une chapelle à voûte lambrissée au décor datant probablement du début du XIVe siècle.
Le domaine est aujourd’hui privé et accueille mariages, réceptions et réunions professionnelles. Le château, ses jardins, ses étonnantes pièces et chambres peuvent se visiter en groupe et sur réservation.
VOS EVENEMENTS PROFESSIONNELS
Venez célébrer votre événement dans l’Orangerie de 600 m², pouvant accueillir jusqu'à 450 convives assis. Cette belle Orangerie est entièrement équipée, dotée d'une vue imprenable sur le Château et idéale pour réunir vos collaborateurs. Il est possible de louer l'Orangerie seule ou de louer l'ensemble du domaine pour vos événements.
LES PLUS
+ Une chapelle classée, une boulangerie, une grande salle de restaurant/réception, 12 salons, un bar 1930, trois cuisines dont une professionnelle, un salon de thé médiéval, une cave à vins/dégustation.
+ Un jardin paysager de 10 hectares, un parc de 10 hectares et un étang, un bois de 250 hectares.
+ Un théâtre/cinéma avec une scène et un écran géant (24 places assises).
+ Un court de tennis, un terrain de boules, tennis de table, billard français, babyfoot, etc.
+ Accès au SPA, situé dans l’ancienne orangerie du château équipée de 5 salles de soins, un hammam et une piscine de 25 m couverte et chauffée toute l’année.
+ Hébergements sur place avec 20 chambres dont 13 suites
Pour un moment convivial à l’extérieur de l’établissement, possibilité de faire une visite guidée d'une miellerie, d'une exposition d'art contemporain et de la ville médiévale.
Infos TOURISME_AFFAIRES
À seulement 45 minutes de Paris, dans la campagne paisible, c’est le lieu de rencontre idéal. Une conférence, une réunion de travail, un événement d'entreprise ou une réunion privée... Combinez votre évènement avec de la bonne nourriture, un spa, de la détente et plus. Des petites salles de réunion intimes au hall principal des fêtes, nous pouvons accueillir de 10 à 150 participants, et même davantage sur demande.
Le Château accueille également des mariages et d'autres évènements privés.
Complément d'accueil
12 personnes minimum.
Clientèle et groupe
Types Clientèles
Accueil groupes
Accueil groupes affaire/incentive
Équipements
Salle de réunion
Anglais
Français
Toute l'année, tous les jours.
Visitable uniquement sur réservation. Contactez le château pour connaître les modalités.
L’Hôtel Anne-de-Pisseleu abrite aujourd’hui l’Office de Tourisme d’Etampes.
Il faut imaginer qu’autrefois, la petite place était une cour totalement fermée et à l’arrière du bâtiment se trouvait un jardin aujourd’hui disparu.
Cet ensemble a été construit pour le prévôt d’Étampes Guillaume Audren au 16ème siècle.
Sous le toit, une frise mêle des motifs végétaux et animaux entrecoupés de figures humaines. Plus bas, le linteau surplombant la porte d'entrée est rythmé par une ronde des Amours. Cette danse évoque l'esprit du temps.
Regardez maintenant au-dessus de la petite porte à droite, le buste de François Ier. La posture du roi rappelle les portraits réalisés par les peintres de l'école de Fontainebleau.
De part et d’autre de la façade, des médaillons représentent au centre François Ier et à droite Anne-de-Pisseleu, sa favorite. Pour la petite histoire même si Anne de Pisseleu reçut le duché d’Étampes en apanage, elle n’a probablement jamais séjourné ici ! Cet Hôtel a prit son nom au 19ème siècle pour lui rendre hommage. Et d’ailleurs, ces médaillons ne sont pas d’origine ; ils ont été ajoutés à cette époque.
Regardez bien la fenêtre la plus à droite du rez-de-chaussée; sur le montant de gauche, à environ 2 mètres du sol, se trouve un cartouche où est inscrite la date.
Équipements
Toilettes
Salle d'exposition
Services
Boutique
Visites guidées
Du 01/04 au 31/10
Ouverture le mardi, mercredi, jeudi et vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18h. Le samedi de 9h à 18h. Le dimanche de 14h à 17h.
Fermé le lundi.
Du 01/11 au 31/03
Ouverture le mardi, mercredi, jeudi et vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h. Le samedi de 9h à 17h.
Fermé lundi et dimanche.
Cette statue a été réalisée par le sculpteur étampois, Elias Robert. Tout comme le théâtre, elle fut édifiée grâce à une souscription publique, en 1857.
Mais au fait, savez-vous qui elle représente ?
Il s’agit d’Etienne Geoffroy Saint-Hilaire un savant naturaliste né à Étampes en 1772. Premier professeur de zoologie du monde, il accompagna Napoléon pendant sa campagne d’Egypte.
Elias Robert a choisi de le représenter en robe de professeur de faculté.
Sous son bras gauche, le buste de Diane d’Ephèse évoque l’Egypte. Autre symbole de ce voyage : les sphinx tout autour du piédestal.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.
Dans la prairie à droite de la D82 menant à St Hilaire.
La vallée de la Juine abrite le long de son cours d'assez nombreux lavoirs. Le rythme du "blanchissage" se faisait alors jusqu'au début du XXème siècle deux fois par an, pour les draps et les serviettes et deux fois par mois pour les petites pièces de linge. La "petite lessive" se pratiquait dans le lavoir qui comprenait en général deux bassins: un pour le décrassage et l'autre pour le rinçage. Le lavoir était également un véritable lieu social de rencontres et de bavardages. L'apparition des machines à laver dans les années 1960 a fait cesser toute activité de blanchissage extérieur et notamment de rinçage aux lavoirs.