Les maries-écoles furent autrefois des maisons écoles dans lesquelles les instituteurs résidaient après avoir fait cours.
Située en face de la grande ferme du château, la mairie-école se dresse sur une petite place entourée de tilleuls, au centre du village avec son plan de village fort utile dans un habitat très dispersé.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918.
La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Dressé entre Fontaine-la-Rivière et Saint-Cyr-la-Rivière, ce monument aux morts est commun aux deux localités. Il est composé d'une stèle ornée d'une palme, sur laquelle sont gravés les noms des victimes des deux guerres mondiales. L'inscription rappelle également que le conseiller général du canton, Georges Dufour, est mort subitement en "glorifiant les héros de la Grande Guerre", le jour de l'inauguration du monument, le 17 juillet 1921.
Accès libre.
L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Juliette de Saint-Cyr-la-Rivière est une église paroissiale catholique, dédiée à Saint Cyr et Sainte Juliette, située dans la commune française de Saint-Cyr-la-Rivière et le département de l'Essonne.
L’église de Saint-Cyr-la-Rivière édifiée aux XIIe et XIIIe siècles, a eu des restaurations importantes aux XVIIe et XIXe siècle.
Le niveau du sol de l'église étant plus bas qu'à l'extérieur, il faut descendre six marches pour accéder à la nef.
Moulin de Chanteloup du XVIème siècle.
Situé entre Juine et Eclimont, ce petit village à l'habitat dispersé et dont l"existence est attestée dès le néolithique, témoigne de l'ancienne présence de nombreux fiefs. Ce moulin dit " à petits sacs" a rythmé la vie du village pendant plusieurs siècles. Des activités diverses ont occupé ce site, dont l’importance a sans doute été augmentée par l'arrivée du chemin de fer au XIXe siècle.
Des écrits datant de 1522 attestent l'existence du moulin. Mathurin Delanoue, meunier du moment, décidera en 1660 de changer l'arbre du bâtiment. Après accord passé avec le charpentier, il fournira le bois de chêne "propre et convenable" à ce dernier. En contrepartie, le charpentier rendra l'arbre "fait et parfait" dans les trois semaines moyennant soixante livres.
Après avoir changé l'arbre, Mathurin Delanoue cède le bail à Marin Marchand et fait refaire les vannes en 1665. En 1668, il arrête l'exploitation au profit d'un nouveau meunier pour un bail de 6 ans.
En 1754, nous trouvons dans le prix du loyer, outre l'argent et la traditionnelle douzaine de canards, " 6 plats de poissons de 2 livres pesanteur chacun". A partir de cette date, on retrouve souvent cette condition dans les baux.
Le moulin sera recensé comme ayant une activité de meunerie jusqu'aux environs des années 1920-1925. En 1926, celui-ci deviendra alors une scierie pour quelques années, Théodore Plazanet en étant l'exploitant. Les propriétaires ont conservé une partie du mécanisme ainsi que la roue. Après la seconde guerre mondiale, ils produisaient leur électricité. Mais la rotation des engrenages faisant trop de bruit, ils mirent rapidement fin à cette expérience.
Au cœur de la vallée de la Juine, offrez-vous un moment d’évasion insolite en embarquant à bord d’un vélorail sur une ancienne voie de chemin de fer… Découvrez des paysages insoupçonnables, entre forêts, patrimoine remarquable et cours d’eau.
Venez vivre une demi-journée riche de sensations lors d'une balade de 2h entre vallée et forêt.
Sillonnant sur les bords de la Juine, rivière paisible dont le lit vous amène à 1h au sud de Paris, notre ligne vous mène au gré de découvertes naturelles et patrimoniales pour une promenade de 12km, pour un voyage tout en sensations et en douceur.
Une activité qui convient à tous grâce à l'assistance électrique présente sur les vélorails
La ligne circule d'Etampes à Méréville.
Au choix : deux parcours exceptionnels (chaque parcours est effectué en Aller et Retour)
- De Saint-Cyr-la-Rivière à Méréville
- De Saint-Cyr-la-Rivière à Etampes
Du 30/03 au 30/06/2024.
Du 02/07 au 31/08/2024.
Tarif unique : 43 € (pour un vélorail permettant d'accueillir jusqu'à 5 adultes ou 4 adultes et 2 enfants jusqu'à 12 ans ).
Au cœur de la vallée de la Juine, offrez-vous un moment d’évasion insolite en embarquant à bord d’un vélorail sur une ancienne voie de chemin de fer… Découvrez des paysages insoupçonnables, entre forêts, patrimoine remarquable et cours d’eau.
Venez vivre une demi-journée riche de sensations lors d'une balade de 2h entre vallée et forêt.
Sillonnant sur les bords de la Juine, rivière paisible dont le lit vous amène à 1h au sud de Paris, notre ligne vous mène au gré de découvertes naturelles et patrimoniales pour une promenade de 12km, pour un voyage tout en sensations et en douceur.
Une activité qui convient à tous grâce à l'assistance électrique présente sur les vélorails
La ligne circule d'Etampes à Méréville.
Au choix : deux parcours exceptionnels (chaque parcours est effectué en Aller et Retour)
- De Saint-Cyr-la-Rivière à Méréville
- De Saint-Cyr-la-Rivière à Etampes
Tarif unique : 43 € (Location d'une draisine 5 à 6 personnes sous conditions).
La ferme de Saint-Cyr a gardé la particularité des anciennes fermes. En effet, les anciens bâtiments comprennent écuries, étables, grange, remises avec greniers, bergeries, aires à auvent, têt à cochons et poulailler sont encore en place.
Si les grandes fermes de Beauce sont devenues pour la plupart des entreprises céréalières, celle de Saint-Cyr a gardé la particularité des anciennes fermes. En effet, les anciens bâtiments comprennent écuries, étables, grange, remises avec greniers, bergeries, aires à auvent, têt à cochons et poulailler sont encore en place.
L’intérêt de ce petit ouvrage d’art réside dans l’ingéniosité avec laquelle les ingénieurs ont pensé faire passer la route, le chemin de fer et la voie d’eau dans cette étroite vallée.
Accès libre.
En 1844 est créé un dépôt de mendicité, et le préfet prend un arrêté interdisant la mendicité. Les communes doivent faire l’acquisition de plaques en fonte précisant que « la mendicité est défendue dans tout le département de Seine et Oise ».
Plaque et poteau à l’entrée et la sortie du village reviennent à 25 francs. Arrancourt et Abbeville, les deux voisines de Saint-Cyr, proposent des tableaux en plâtre écrits à l’encre, mais le préfet refuse. Finalement, les deux localités optent pour une plaque à l’entrée de la première et une plaque à la sortie de la seconde, ce qui réduit leurs frais de moitié mais ne résout pas le problème de la pauvreté. La plaque de Saint-Cyr a été scellée au centre du village.
Situé sur la Juine, cet ancien moulin à blé ou à farine est déjà cité en 1656, Pierre Houdon en étant le meunier de 1662 à 1671.
Les noms des meuniers Bouthevilain, Delanoue et Villette sont ensuite évoqués. En 1897, le moulin passe aux mains de la famille Dailloux. Il est transformé en atelier de fabrication de machines à coudre les chaussons. Depuis, ne cessant de s’adapter aux besoins de l’économie, il fabrique des machines-outils, et notamment des presses. Il ne comporte plus de roue, mais une turbine de 12 CV alimente en électricité l’usine et les habitations.
Gratuit.