Monument de commémoration des personnes tombées aux guerres de 1914-1918 et 1939-1945.
Monument de commémoration des personnes tombées aux guerres de 1914-1918 et 1939-1945.
Monument de commémoration des personnes tombées aux guerres de 1914-1918 et 1939-1945.
Monument de commémoration des personnes tombées aux guerres de 1914-1918 et 1939-1945.
Cent ans après la signature de l’armistice, le Conseil municipal de Brouy souhaite se souvenir de ceux qui ont combattu en réalisant un monument commémoratif d’envergure : une statue monumentale sur la place du village.
Il s'agit ici d'une démarche singulière, pour ne pas dire inédite, de la part de la commune de Brouy recensant à peine cent cinquante habitants. Il s'agit d'un engagement fort pour perpétuer le devoir de mémoire auprès des jeunes générations.
Évidemment, l'enjeu n'est pas le même cent après la fin de la Première Guerre mondiale. Il ne s'agit pas d'ériger un monument commémoratif pour combler un manque, mais bien d'une statuaire ancrée dans son temps et orientée vers l'avenir. Témoignage du passé, ce monument est un message de paix dirigé vers l'Europe à destination des générations futures.
Pour que le projet puisse voir le jour, la commune a dû trouver un artiste acceptant de réaliser son monument. L'enjeu mémoriel étant fort, il est difficile pour un artiste de prendre la charge de ce thème et de parvenir à le traiter. C’est l’artiste François Torres, dit Toto, qui a finalement été inspiré et particulièrement enthousiaste. Résidant de l’Essonne, Toto voue un grand intérêt pour l'histoire et le conflit de la Première Guerre mondiale. Là où la réalisation d'un monument commémoratif peut être un sujet complexe pour être assumé par certains artistes, il est vu comme une chance et un honneur de pouvoir s'exprimer à travers son art.
La Mairie et l’artiste engagent alors une réflexion commune dans l’élaboration de la sculpture monumentale pour définir les thèmes à traiter, les symboles ou encore le message à transmettre. Après une première série de croquis sur une statuaire représentant un couple moderne, le choix final va se tourner vers la représentation d'une femme - Marianne - portant le drapeau de l'Europe.
Ce monument en grès et métal de trois mètres comporte les éléments phares d’un édifice commémoratif de la Grande Guerre, tout en apportant une vision contemporaine et définitivement tournée vers l'avenir. Le socle en métal détient une plaque commémorative en métal ayant pour inscription "Brouy, À ses enfants morts pour la Patrie", avec une couronne de laurier et à l'arrière l’inscription des noms des poilus disparus lors de la guerre 14-18.
Sur le socle, deux bas-reliefs sont sculptés. Le côté gauche représente la bataille de la Marne en 1914, où des soldats chargent dans les champs vêtus de leurs uniformes bleus et rouges. Le côté droit est une illustration de la guerre des tranchées. Ces batailles ont une forte symbolique et font partie de la mémoire collective de chacun.
La statue surplombant le socle représente une Marianne aux couleurs bleu, blanc, rouge, portant une robe et un drapeau étoilé en référence au drapeau européen. Ce choix permet de rappeler que l'Europe voit le jour à l'issue de la Seconde Guerre mondiale pour instaurer la paix sur notre continent. Dans un village agricole de Beauce comme Brouy, l'Europe joue aujourd’hui un rôle majeur notamment à travers sa politique agricole.
Fidèle à la tradition de souscription, la commune de Brouy a lancé une campagne de mécénat auprès de la population pour participer au financement de son monument, soutenue dans son initiative par le département de l’Essonne, le souvenir français et la Communauté d’Agglomération de l’Étampois Sud-Essonne.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918. Situé à l'intérieur du cimetière.
La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’enjeu du souvenir des pages sombres de l’Histoire reste intact en France. La mission de commémoration du centenaire pilotée par le gouvernement témoigne de l’importance du devoir de mémoire à l’échelle nationale.
Gratuit.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918. La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’enjeu du souvenir des pages sombres de l’Histoire reste intact en France. La mission de commémoration du centenaire pilotée par le gouvernement témoigne de l’importance du devoir de mémoire à l’échelle nationale.
Gratuit.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918. Situé au carrefour des rues Maurice Bertheaux/Carnot/Madeleine.
La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Ce monument est surtout dédié aux femmes, mères ou veuves. Le comité d'érection a voulu un monument "érigé sur la voie publique, pour être vu de tous, de celui qui passe comme celui qui demeure, pour qu'il soit journellement dans notre regard". Les couronnes de laurier retournées sont les symboles de la douleur ou d'une contestation pacifique.
Accès libre.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918.
La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’enjeu du souvenir des pages sombres de l’Histoire reste intact en France. La mission de commémoration du centenaire pilotée par le gouvernement témoigne de l’importance du devoir de mémoire à l’échelle nationale.
Gratuit.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918..
La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’enjeu du souvenir des pages sombres de l’Histoire reste intact en France. La mission de commémoration du centenaire pilotée par le gouvernement témoigne de l’importance du devoir de mémoire à l’échelle nationale.
Gratuit.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918.
La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’enjeu du souvenir des pages sombres de l’Histoire reste intact en France. La mission de commémoration du centenaire pilotée par le gouvernement témoigne de l’importance du devoir de mémoire à l’échelle nationale.
Gratuit.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918. Situé à l'intérieur du cimetière.
La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’enjeu du souvenir des pages sombres de l’Histoire reste intact en France. La mission de commémoration du centenaire pilotée par le gouvernement témoigne de l’importance du devoir de mémoire à l’échelle nationale.
Gratuit.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918. La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’enjeu du souvenir des pages sombres de l’Histoire reste intact en France. La mission de commémoration du centenaire pilotée par le gouvernement témoigne de l’importance du devoir de mémoire à l’échelle nationale.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918. La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’enjeu du souvenir des pages sombres de l’Histoire reste intact en France. La mission de commémoration du centenaire pilotée par le gouvernement témoigne de l’importance du devoir de mémoire à l’échelle nationale.
Gratuit.
Apparus après la guerre de 1870-1871, les monuments aux morts ont été élevés dans leur grande majorité à la suite de la guerre de 1914-1918. Situé au pied de l'église.
La fonction première de ces édifices est de rassembler la population autour du souvenir de ceux qui ne reviendront pas. Les monuments aux morts, érigés dans chaque coin de la France, en ville ou à la campagne, contribuent au travail de deuil des familles de l’ensemble du pays. Après l’armistice, les plaques, stèles et sculptures monumentales investissent l’espace public et transforment les places, routes et cimetières en lieu de souvenir dans toute la France. L’Étampois ne fait pas exception. Chaque ville ou village souhaite rendre hommage aux morts de la Grande Guerre. Les édifices commémoratifs sont le reflet d’une époque, d’un savoir-faire et de l'histoire de la commune. Les noms gravés traduisent le poids de la guerre sur la vie locale quand ils ne sont pas aujourd'hui la seule trace de certaines familles.
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’enjeu du souvenir des pages sombres de l’Histoire reste intact en France. La mission de commémoration du centenaire pilotée par le gouvernement témoigne de l’importance du devoir de mémoire à l’échelle nationale.
Gratuit.